Apprendre une langue tout seul ? Facile !
L'idéeDans le quotidien, j'aime bien passer mes soirées d'hiver à sculpter, en lançant des petites conférences vidéos TedX, j'ai alors l'esprit pleinement disponible, et puis, ces formats de 15 minutes sont fascinants et inspirants...
Un jour, je tombe sur celle ci... "Comment apprendre tout ce que vous voulez en 20h" Merde, le mec met des mots et met en pratique un truc que j'ai vaguement au fond de moi, mais que j'avais pas encore organisé... Le raisonnement est simple, en apprenant à connaitre son propre fonctionnement d'apprentissage, en créant des "raccourcis" vers l'essentiel, 20h suffisent à avoir un niveau d'autonomie dans l'apprentissage. Le but n'est pas d'être un pro, non, c'est de se faire plaisir et d'être capable de s'auto-corriger rapidement et de progresser seul... |
Sous titres dispos dans toutes les langues en bas à droite
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Alors comment çà marche?
Je ne suis ni linguiste ni polyglotte, mais j'ai cogité sur le sujet depuis quelques années, lorsque dans notre aventure vers l'asie centrale en 2013, on avait appris des rudiments de turc et de russe... alors voici mon condensé de réflexion théorique, après dans la pratique je faiblis parfois un peu...
J'aime les langues, j'aime jouer avec les mots, j'aime la force qu'ils véhiculent, en douceur, subtilement, j'aime l'influence qu'ils peuvent avoir, j'aime voir comment la vie et la culture sont parfois liés à la langue... Moi, les mots écrits, je les vois s'articuler et ouvrir la porte vers un univers qui dépasse très largement une simple ligne sur un papier... J'aime jouer, jongler avec, les prononcer, les écouter, les relire, les bousculer... Je les perçois comme une forme d'expression de la vie, comme un art, une vibration...
Alors, comme j'avais retardé l'apprentissage de l'espagnol, j'ai fini par délibérément ne rien apprendre pour voir, comment, sur place, j'allais progresser à partir de zéro...
Ca devenait excitant...
J'aime les langues, j'aime jouer avec les mots, j'aime la force qu'ils véhiculent, en douceur, subtilement, j'aime l'influence qu'ils peuvent avoir, j'aime voir comment la vie et la culture sont parfois liés à la langue... Moi, les mots écrits, je les vois s'articuler et ouvrir la porte vers un univers qui dépasse très largement une simple ligne sur un papier... J'aime jouer, jongler avec, les prononcer, les écouter, les relire, les bousculer... Je les perçois comme une forme d'expression de la vie, comme un art, une vibration...
Alors, comme j'avais retardé l'apprentissage de l'espagnol, j'ai fini par délibérément ne rien apprendre pour voir, comment, sur place, j'allais progresser à partir de zéro...
Ca devenait excitant...
Démonter les mythes et les croyances limitatives
Comme pour tout, le plus gros frein est bien souvent ces fausses peurs qu'on s'imagine...
J'aimerai apprendre une langue, quelles sont les croyances ancrées en moi qui m'empêchent de me lancer ?
- C'est compliqué / J'y arriverai pas tout seul / Je ne sais pas à qui m'adresser.
- Je suis trop vieux / J'ai pas le temps...
ou pire
- Je suis mauvais parceque mon prof d'anglais était pas intéressant / ou m'a traumatisé...
Ouais, en prenant un peu de recul, çà prête à sourire hein? Une fois identifié la croyance, le simple fait d'avoir conscience que c'est une croyance aide déjà énormément à la déraciner... On peut toujours continuer à se trouver des excuses, c'est pas grave, on ne se ment qu'à soi même après tout, les autres s'en foutent complètement...
Moi je me suis toujours dit qu'au final, en résumant au plus simple, une langue c'est jamais que du vocabulaire articulé par de la grammaire non? Ca ne fait que deux choses à apprendre alors...
Mieux encore... En voyage je me suis aperçu qu'on a passé des soirées à ne pas savoir quoi dire avec des gens qui parlaient anglais, et des soirées merveilleuses avec gens sans avoir de langue commune, en parlant sans barrière et sans gêne, avec le coeur, à travers l'intonation, le regard et les gestes, on comprend énormément. La communication dépasse alors les simples mots que nous pouvons avoir en commun.
Il y a 3 phases que j'aime bien dans l'apprentissage...
La première, c'est quand on apprend à lire un nouvel alphabet. Alors les signes inconnus s'agitent et deviennent des sons, puis un univers plein de vie. Alors quand on sait lire, on ne revient plus jamais à la phase "hiéroglyphe", non on voit au delà du rideau pour toujours...
La deuxième, c'est quand on commence à comprendre des trucs simples et à s'exprimer de manière basique... c'est un peu comme tirer le voile et voir un peu plus clair dans cet univers inconnu...
La troisième, c'est le moment du déclic, ou tout s'emboîte et coïncide, ce moment ou la grammaire devient logique, et où tout devient hyper fluide... La sensation de jouer avec les mots, danser avec leur vibration...
J'aimerai apprendre une langue, quelles sont les croyances ancrées en moi qui m'empêchent de me lancer ?
- C'est compliqué / J'y arriverai pas tout seul / Je ne sais pas à qui m'adresser.
- Je suis trop vieux / J'ai pas le temps...
ou pire
- Je suis mauvais parceque mon prof d'anglais était pas intéressant / ou m'a traumatisé...
Ouais, en prenant un peu de recul, çà prête à sourire hein? Une fois identifié la croyance, le simple fait d'avoir conscience que c'est une croyance aide déjà énormément à la déraciner... On peut toujours continuer à se trouver des excuses, c'est pas grave, on ne se ment qu'à soi même après tout, les autres s'en foutent complètement...
Moi je me suis toujours dit qu'au final, en résumant au plus simple, une langue c'est jamais que du vocabulaire articulé par de la grammaire non? Ca ne fait que deux choses à apprendre alors...
Mieux encore... En voyage je me suis aperçu qu'on a passé des soirées à ne pas savoir quoi dire avec des gens qui parlaient anglais, et des soirées merveilleuses avec gens sans avoir de langue commune, en parlant sans barrière et sans gêne, avec le coeur, à travers l'intonation, le regard et les gestes, on comprend énormément. La communication dépasse alors les simples mots que nous pouvons avoir en commun.
Il y a 3 phases que j'aime bien dans l'apprentissage...
La première, c'est quand on apprend à lire un nouvel alphabet. Alors les signes inconnus s'agitent et deviennent des sons, puis un univers plein de vie. Alors quand on sait lire, on ne revient plus jamais à la phase "hiéroglyphe", non on voit au delà du rideau pour toujours...
La deuxième, c'est quand on commence à comprendre des trucs simples et à s'exprimer de manière basique... c'est un peu comme tirer le voile et voir un peu plus clair dans cet univers inconnu...
La troisième, c'est le moment du déclic, ou tout s'emboîte et coïncide, ce moment ou la grammaire devient logique, et où tout devient hyper fluide... La sensation de jouer avec les mots, danser avec leur vibration...
Cibler les objectifs et priorité
Apprendre par nécessité, par simple plaisir, pour rigoler avec son collègue natif d'un autre pays, ou encore pour se la péter sur le cv, on s'en fiche, chacun sa raison... ce qui compte c'est de vouloir. Afin de ne pas se perdre, il est important de se demander "Quel niveau de langue ai je besoin d'atteindre? " Une langue n'est pas acquise pour toujours, elle s'oublie peu à peu avec le temps, alors nul besoin d'atteindre un niveau académique si c'est simplement pour maitriser de la conversation quotidienne... Et un niveau de conversation courante peut s'obtenir vite... Ici le but est de se faire comprendre, puis d'améliorer pour atteindre un niveau de conversation courante... (et puis, ensuite, pousser le plaisir jusqu'à une compréhension de textes écrits plus complexes...)
Connaître son propre fonctionnement et sa propre façon d'apprendre
Là, ça demande un peu d'observation, un peu de travail sur soi, mais bon, on est tous plus ou moins au courant de comment on fonctionne... Je ne suis pas un grand polyglotte mais je me suis passé par les cases latin et allemand de manière sérieuse, au russe et au turc de manière plus légère... des approches différentes qui m'ont permis de mettre le doigt sur comment je fonctionne.
Le latin m'a appris un peu de rigueur, de mémorisation, des racines utiles, des mécanisme grammaticaux... Bref çà ne sert pas de manière pratique et vivante, mais çà dépanne bien dans l'approche théorique...
L'allemand, c'était radical, j'étais en immersion totale dans l'est de l'allemagne, au service dans un grand hôtel, personne ne communiquait ni en francais ni en anglais... j'étais livré à moi même, avec mon livre de grammaire le soir pour rédiger un mémoire... après 3 mois, j'avais un niveau correct et fluide, à l'oral et à l'écrit...
Le russe j'ai commencé 2 fois la méthode assimil, et 2 fois, j'ai buté sur la leçon 15 ou les complexités grammaticales me perdaient... J'en tire la leçon que le vocabulaire est plus important et que la grammaire viendra avec la confiance...
Pendant le voyage vélo à travers les pays en "stan" de l'ex URSS, les quelques leçons apprises permettent vite de découper les phrases et les analyser, et de se débrouiller pour baragouiner les bases et même engueuler un mec...
Le turc, c'était du pur petit nègre, et c'est là que je m'aperçois que du petit nègre parlé avec le coeur facilite plus la communication que le fait de vouloir maitriser parfaitement une langue et avoir peur de faire des erreurs...
Mon mode de fonctionnement est simple, je sais qu'il me faut mixer de l'écoute et de la visualisation pour mémoriser, je sais qu'il me faut des bases pratiques sur lesquelle je greffe un peu tout ensuite, je sais aussi que j'aime apprendre au moment de m'endormir quand le cerveau est dans un état "intermédiaire", et je sais que le vocabulaire prime sur la grammaire pour commencer...
Le latin m'a appris un peu de rigueur, de mémorisation, des racines utiles, des mécanisme grammaticaux... Bref çà ne sert pas de manière pratique et vivante, mais çà dépanne bien dans l'approche théorique...
L'allemand, c'était radical, j'étais en immersion totale dans l'est de l'allemagne, au service dans un grand hôtel, personne ne communiquait ni en francais ni en anglais... j'étais livré à moi même, avec mon livre de grammaire le soir pour rédiger un mémoire... après 3 mois, j'avais un niveau correct et fluide, à l'oral et à l'écrit...
Le russe j'ai commencé 2 fois la méthode assimil, et 2 fois, j'ai buté sur la leçon 15 ou les complexités grammaticales me perdaient... J'en tire la leçon que le vocabulaire est plus important et que la grammaire viendra avec la confiance...
Pendant le voyage vélo à travers les pays en "stan" de l'ex URSS, les quelques leçons apprises permettent vite de découper les phrases et les analyser, et de se débrouiller pour baragouiner les bases et même engueuler un mec...
Le turc, c'était du pur petit nègre, et c'est là que je m'aperçois que du petit nègre parlé avec le coeur facilite plus la communication que le fait de vouloir maitriser parfaitement une langue et avoir peur de faire des erreurs...
Mon mode de fonctionnement est simple, je sais qu'il me faut mixer de l'écoute et de la visualisation pour mémoriser, je sais qu'il me faut des bases pratiques sur lesquelle je greffe un peu tout ensuite, je sais aussi que j'aime apprendre au moment de m'endormir quand le cerveau est dans un état "intermédiaire", et je sais que le vocabulaire prime sur la grammaire pour commencer...
Définir une méthode
Rien ne sert de cumuler 50 bouquins et méthodes, la meilleur méthode est celle qu'on arrive à suivre...
Et comme toujours, prendre du plaisir à l'apprentissage accélère les choses...
Se lancer
En voyageant à vélo, on a réalisé que peu de mots servent beaucoup, et que le vocabulaire prime sur la grammaire... La grammaire décourage, le vocabulaire, lui exprime de manière simple les bases... Alors on oublie les petits guides de conversations, avec ses phrases complexes, où on prononce en yaourt un truc qu'on comprend pas, suffit d'un mot oublié pour ne pas être compris...
On va droit à l'essentiel...
Bonjour - Merci - Au revoir = la petite politesse qui ouvre de grandes portes
Oui - Non - Peut être = permet de répondre ou de nuancer
Hier - Aujourd'hui - Demain = me permettent de parler au passé, présent, ou futur... Hier moi là bas, demain moi faire çà...
Heure - Jour - semaine - mois - années = 5 mots pour parler de durée
Ici, là bas, droite, gauche =. permet de se repérer dans l'espace
Compter jusqu'à dix, voire les dizaines = parler la distance ou la durée, au pire une calculatrice permet de parler chiffres...
Manger, boire, dormir, avoir, être, faire, mettre, donner... = Quelques verbes de base
Grand/petit, bon/mauvais, cher/bon marché, loin/près, ouvert/fermé... = quelques adjectifs et leur contraire
Vélo, problème, bus, tente, auberge, pain, eau, magasin = une poignée de mots utiles dans le contexte où on est...
Et avec çà il y à déjà moyen de survivre dans n'importe quelle langue... instantanément ! On se sent déjà moins quiche !
Après au fil du temps, on développe les listes de vocabulaire, on y intègre des mots pour articuler les phrases, et , peu à peu les conjugaisons... En fait tout se construit tout seul...
L'idée est de se sentir progresser, pour se sentir récompensé, et avoir envie de continuer...
Progression
Une fois lancé, alors, là oui, je sors le bouquin de grammaire, ou la méthode d'apprentissage pour voir peu à peu des phrases simples, des conjugaisons...
J'aime bien l'appli mosa lingua, 5euros pour l'inscription à vie et une méthode très intuitive basée sur l'auto évaluation.
J'utilise la méthode assimil, les écrits en pdf, les dialogues en mp3. L'idée est juste d'avoir une diversité de dialogues à lire et écouter dans lesquels piocher.
Visualisation
J'aime bien faire des affiches collées partout dans l'appartement, avec des mots biens gros et en couleur, de manière à les visualiser n'importe quand... Coller des post it sur tous les objets avec leur nom marche aussi...
Pour mémoriser, j'aime bien dessiner la grammaire, et rajouter des éléments à l'image, que je mémorise... Ca ressemble à un grand schéma géant mais très clair de ce que je veux mémoriser...
Il m'est ainsi facile de visualiser le dessin global n'importe quand, d'amener un élément à intégrer, toujours en visualisant, et de trouver où il va dans le dessin...
Ecoute
Youtube regorge de listes de phrases enregistrées, avec leur traduction, il suffit de télécharger les mp3.
J'aime écouter des listes de phrases ou de vocabulaire pour m'endormir et au réveil, quand le cerveau travaille inconsciemment...
Regarder chaque jour un film sous titré permet aussi, peu à peu de développer du vocabulaire. L'image aide à retenir.
Regarder un truc qu'on aime accélère les processus de mémorisation.
Et comme toujours, prendre du plaisir à l'apprentissage accélère les choses...
Se lancer
En voyageant à vélo, on a réalisé que peu de mots servent beaucoup, et que le vocabulaire prime sur la grammaire... La grammaire décourage, le vocabulaire, lui exprime de manière simple les bases... Alors on oublie les petits guides de conversations, avec ses phrases complexes, où on prononce en yaourt un truc qu'on comprend pas, suffit d'un mot oublié pour ne pas être compris...
On va droit à l'essentiel...
Bonjour - Merci - Au revoir = la petite politesse qui ouvre de grandes portes
Oui - Non - Peut être = permet de répondre ou de nuancer
Hier - Aujourd'hui - Demain = me permettent de parler au passé, présent, ou futur... Hier moi là bas, demain moi faire çà...
Heure - Jour - semaine - mois - années = 5 mots pour parler de durée
Ici, là bas, droite, gauche =. permet de se repérer dans l'espace
Compter jusqu'à dix, voire les dizaines = parler la distance ou la durée, au pire une calculatrice permet de parler chiffres...
Manger, boire, dormir, avoir, être, faire, mettre, donner... = Quelques verbes de base
Grand/petit, bon/mauvais, cher/bon marché, loin/près, ouvert/fermé... = quelques adjectifs et leur contraire
Vélo, problème, bus, tente, auberge, pain, eau, magasin = une poignée de mots utiles dans le contexte où on est...
Et avec çà il y à déjà moyen de survivre dans n'importe quelle langue... instantanément ! On se sent déjà moins quiche !
Après au fil du temps, on développe les listes de vocabulaire, on y intègre des mots pour articuler les phrases, et , peu à peu les conjugaisons... En fait tout se construit tout seul...
L'idée est de se sentir progresser, pour se sentir récompensé, et avoir envie de continuer...
Progression
Une fois lancé, alors, là oui, je sors le bouquin de grammaire, ou la méthode d'apprentissage pour voir peu à peu des phrases simples, des conjugaisons...
J'aime bien l'appli mosa lingua, 5euros pour l'inscription à vie et une méthode très intuitive basée sur l'auto évaluation.
J'utilise la méthode assimil, les écrits en pdf, les dialogues en mp3. L'idée est juste d'avoir une diversité de dialogues à lire et écouter dans lesquels piocher.
Visualisation
J'aime bien faire des affiches collées partout dans l'appartement, avec des mots biens gros et en couleur, de manière à les visualiser n'importe quand... Coller des post it sur tous les objets avec leur nom marche aussi...
Pour mémoriser, j'aime bien dessiner la grammaire, et rajouter des éléments à l'image, que je mémorise... Ca ressemble à un grand schéma géant mais très clair de ce que je veux mémoriser...
Il m'est ainsi facile de visualiser le dessin global n'importe quand, d'amener un élément à intégrer, toujours en visualisant, et de trouver où il va dans le dessin...
Ecoute
Youtube regorge de listes de phrases enregistrées, avec leur traduction, il suffit de télécharger les mp3.
J'aime écouter des listes de phrases ou de vocabulaire pour m'endormir et au réveil, quand le cerveau travaille inconsciemment...
Regarder chaque jour un film sous titré permet aussi, peu à peu de développer du vocabulaire. L'image aide à retenir.
Regarder un truc qu'on aime accélère les processus de mémorisation.
Immersion
Il va de soi qu'être dans le pays aide. La vie quotidienne regorge de sollicitation des sens... Le supermarché est un dictionnaire imagé géant, suffit de lire les étiquettes. Et puis être à l'affût des panneaux et affiches dans les rues, des phrases entendues au vol permet de se faire l'oreille... Avoir un ami avec qui communiquer aide aussi. Le top est que la langue cible soit la seule langue possible pour communiquer, ce qui évite de passer à l'anglais pour mieux se comprendre par exemple... Faire le pont théorie / pratiqueAmener l'expérience vécue jusqu'au livre de grammaire, en allant vérifier un truc entendu dans la journée...
Apprendre un truc qui peut servir dans le livre et l'essayer en vrai, pour valider ... On peut faire sans le livre si on y est allergique, mais c'est tellement plus efficace... |
Cuando se come, aqui? Couaco mé kiki
Souvenir d'enfance... Voilà à peu près le truc le plus marquant que je savais dire en arrivant... |
Faire le pont entre les langues...
S'appuyer sur des similitudes d'une autre langue qu'on maitrise aide beaucoup. Certains mécanisme grammaticaux se répètent d'une langue à l'autre. Connaitre le fonctionnement des cas et déclinaisons en latin rend l'apprentissage de l'allemand et du russe beaucoup moins barbares par exemple...
Maitriser l'anglais permet aussi de diversifier les ressources et peut être de trouver quelque chose qui nous convient mieux, puisqu'il y a énormément de contenu sur internet depuis l'anglais vers les autres langues...
L'important est bien sûr de s'amuser.
Maitriser l'anglais permet aussi de diversifier les ressources et peut être de trouver quelque chose qui nous convient mieux, puisqu'il y a énormément de contenu sur internet depuis l'anglais vers les autres langues...
L'important est bien sûr de s'amuser.
S'accorder le droit à l'erreur
Bon, là, mon côté perfectionniste me retient encore un peu...
Pourtant c'est en s'autorisant à faire des erreurs qu'on apprend... et qu'on prend peu à peu confiance... le mieux étant encore d'avoir quelqu'un qui aide à corriger sans se moquer. En se refusant d'essayer, par peur de se tromper, progresse plus lentement...
Pourtant c'est en s'autorisant à faire des erreurs qu'on apprend... et qu'on prend peu à peu confiance... le mieux étant encore d'avoir quelqu'un qui aide à corriger sans se moquer. En se refusant d'essayer, par peur de se tromper, progresse plus lentement...
Etre appliqué et assidu
Ben... y a plus qu'à. Le plus dur reste bien sûr de se tenir à ses engagements, et à pratiquer de manière régulière...
Il vaut mieux des petites sessions de 15 minutes chaque jour, que vouloir faire une heure à la fois et toujours repousser...
Attention aux distractions faciles, tv internet qui poussent à la flemme...
Alors, passé le seuil des 20h, quest ce que çà donne?
J'arrive à avoir un niveau d'autonomie dans l'apprentissage pour comprendre où aller chercher pour progresser. J'accepte de ne pas aller aussi vite que j'en serai capable, et je sais que le cerveau travaille peu à peu alors rien ne sert de s'acharner, autant être patient et régulier...
Et après un mois?
Eh bien je prends du plaisir à progresser et à pouvoir m'exprimer, et çà vient chaque jour...
Voilà... tout est là... suffit d'avoir envie...
Il vaut mieux des petites sessions de 15 minutes chaque jour, que vouloir faire une heure à la fois et toujours repousser...
Attention aux distractions faciles, tv internet qui poussent à la flemme...
Alors, passé le seuil des 20h, quest ce que çà donne?
J'arrive à avoir un niveau d'autonomie dans l'apprentissage pour comprendre où aller chercher pour progresser. J'accepte de ne pas aller aussi vite que j'en serai capable, et je sais que le cerveau travaille peu à peu alors rien ne sert de s'acharner, autant être patient et régulier...
Et après un mois?
Eh bien je prends du plaisir à progresser et à pouvoir m'exprimer, et çà vient chaque jour...
Voilà... tout est là... suffit d'avoir envie...